Médiation animale : la petite anecdote

Tout d’abord, connaissez-vous la médiation animale ? C’est une thérapie qui consiste à travailler sur la santé mentale, le bien-être physique, le sentiment affectif ainsi que les relations sociales d’un individu. Tout cela s’effectue grâce à la tendresse des animaux.

Cette pratique ne date pas d’hier. Vous devez savoir que les premières pratiques de médiation animale ont lieu au IXᵉ siècle dans la ville de Gheel, en Belgique. Elles consistaient à placer des oiseaux auprès des malades pendant leur période de convalescence. L’objectif était de leur faire reprendre confiance en eux.

En 1796, William Tuke, un chercheur anglais, fonde l’institut York Retreat. Après avoir constaté les conditions sanitaires déplorables dans lesquelles vivaient les malades dans les asiles, il décide d’opter pour une autre méthode. Le traitement consiste à confier des lapins aux malades. Ces derniers doivent s’occuper de ces petits animaux sans les maltraiter. Cette pratique a pour but d’en faire des personnes responsables une fois qu’elles quittent l’établissement.

Puis, en 1937, le dénommé Sigmund Freud découvre presque par hasard lors de ses recherches que les enfants ont plus d’affection pour un animal que pour leurs parents. De ce fait, il se met à utiliser un animal pour stimuler les sentiments d’un enfant.

Les bases nécessaires pour suivre la formation sur la médiation animale

Il est nécessaire de suivre une formation pour pratiquer la médiation animale. Cette formation s’adresse aux personnes ayant une base dans la relation d’aide. C’est le cas des aides-soignants, des infirmiers, ou encore des personnes qui travaillent dans la relation sociale. A l’issue00 de la formation elles sont qualifiées dans le domaine des thérapies faisant appel aux animaux. L’objectif est surtout de pouvoir répondre aux besoins de la personne malade, tant psychologiques qu’émotionnels.

Sur le Web, vous pouvez trouver des renseignements sur la formation en médiation animale. Des détails sur la formation vous sont donnés sur Internet. La formation possède sept modules. Les participants choisissent l’un des sept modules selon leur objectif personnel ou professionnel. Un seul module peut vous donner les compétences nécessaires pour la pratique de la médiation animale.

La médiation animale et les maladies

La médiation animale est une médecine douce destinée aux personnes en difficulté émotionnelle, avec des troubles mentaux, ou des problèmes d’intégration sociale. Elle peut venir en complément des traitements donnés aux personnes en situation de handicap, atteintes d’Alzheimer ou de schizophrénie. Elle est même prodiguée aux individus souffrant de troubles de la personnalité liés à des passés douloureux. Elle est salutaire pour les enfants autistes.

Bref, la médiation animale est facile à mettre en œuvre. Mais, il faut du temps aux patients pour la pratiquer au quotidien. Son avantage majeur est que les patients finissent par prendre moins de médicaments, tout en étant comblés d’affection grâce à la présence de l’animal.

La coccinelle

La coccinelle est connue comme étant une prédatrice des pucerons, tout en préservant la santé des cultures. Elle mange les larves, les cochenilles, les acariens, les poux, les araignées rouges, etc. Vous pouvez trouver les coccinelles dans les fleurs jaunes telles que le coriandre, le fenouil, le tournesol, etc.

Pour en connaître un peu plus sur la nature et les différents moyens de la protéger, jetez un œil sur les différents articles de cette page.

Le taon

Le taon comprend environ 3 000 espèces réparties en plus de 250 genres. Cet insecte diurne est votre véritable allié durant l’été du fait qu’il est le principal prédateur de la mouche blanche. Pour ce faire, il y dépose ses œufs dans les larves de cette dernière pour qu’ils puissent les dévorer une fois qu’ils ont éclos.

Le taon vous aide également à éliminer les pucerons, les acariens et les petits vers. Les espèces adultes se nourrissent de pollen et de nectar. Si vous avez des cultures de maïs, le taon peut s’y trouver. Pour les attirer, mettez des fleurs parmi vos cultures.

Les abeilles domestiques

L’abeille domestique est aussi une de vos alliées dans votre jardin ou culture. Reconnaissable à son thorax poilu et à son abdomen rayé de jaune, elle est une véritable pollinisatrice. Ce phénomène contribue largement à accroître la productivité de vos cultures. Il est donc utile d’attirer un essaim d’abeilles domestiques en créant de grands espaces de verdure, des massifs de fleurs ou de prairies fleuries. Il existe bien sûr d’autres insectes qui protègent vos cultures comme le syrphe, le perce-oreille, la guêpe solitaire, etc.

Est-il possible de parler de « sommeil » chez les insectes ?

Les insectes ne « dorment » pas comme dans le sens commun du terme. Pour les humains, le moment de dormir correspond à l’abandon total du corps, dans le but de se recharger. Dans le même concept, les insectes profitent de cet état de « sommeil » pour récupérer de leur journée. Par contre, ce moment ressemble plus à une sieste ou à un sommeil en pleine conscience. Ils adoptent les mêmes postures de sommeil caractéristiques, mais ne durent pas longtemps. Pour savoir si un insecte est en phase du sommeil, il suffit de l’observer :

– une antenne baissée chez les abeilles ;
– des ailes repliées chez les papillons ;
– une tête baissée, etc.

La seule différence réside dans le fait que dans leur « sommeil », ils restent dans un état d’alerte permanent. Étant donné que le monde sauvage est dangereux, il leur est impossible de vraiment baisser leur garde. Ils doivent être prêts à s’enfuir à la moindre alerte ou mouvement suspect détecté.

Pourquoi les insectes dorment-ils ?

Les insectes dorment surtout pour récupérer de leurs activités quotidiennes. Semblables aux êtres humains, ils peuvent ressentir la fatigue, et même montrer des signes distinctifs. De même, ils peuvent subir les effets négatifs d’un manque de sommeil, comme la baisse du tonus musculaire ou encore une diminution de la température. A la longue, le manque de sommeil peut amener jusqu’à la perte de longévité de l’insecte.

Le cycle de sommeil des insectes dépend de l’espèce à laquelle ils appartiennent. Certains dorment le jour et sont actifs la nuit, tandis que d’autres, c’est le contraire. A titre d’exemple, les abeilles tout comme le xylocope violet ou abeille charpentière, un insecte noir volant, sont actifs dans la journée, mais se reposent à la nuit tombée. Quant aux moustiques, ils dorment le jour et embêtent les êtres humains la nuit.

Quel insecte ne dort jamais ?

Dans le règne animal, il existe un insecte qui ne dort jamais, même pas une seconde de sa courte vie sur terre : la fourmi. Ce petit insecte est connu pour ses innombrables capacités, dont sa force phénoménale au vu de sa taille, mais également son intelligence et son mode de vie en communauté qui est bien plus avancé que le nôtre.

Leur absence de sommeil est de ce fait une particularité peu connue des fourmis qui les distinguent des autres insectes. Durant ses 60 jours où elle sera sur terre en train de travailler pour sa colonie, la fourmi n’aura aucun moment de répit. Elle devra accomplir ses tâches jours et nuits, sans se reposer.

C’est son destin et elle ne peut s’y soustraire. Et c’est automatique, elle continuera à travailler sans prendre le temps de dormir pour sa reine et sa colonie. D’autres insectes font de même, mais elle est la plus atypique d’entre tous.

Ouvrir une pension canine : quel statut juridique choisir ?

Avant de choisir le statut de l’établissement, il faut choisir d’abord le type de la société, si SAS ou SARL. Le statut SASU est très avantageux, car il est flexible et est possible d’accueillir plusieurs associés en toute simplicité. Quant au statut EURL, c’est l’idéal pour un projet d’ouverture de pension canine familiale. L’inconvénient pour ce dernier, c’est qu’il peut y avoir de la complexité en termes de modification de statut. Néanmoins, la SARL est optionnelle pour créer une pension canine.

Les dispositions pour ouvrir une pension canine

Il faut respecter les conditions d’hygiène et les conditions d’équipement pour le besoin de l’animal. Aussi, il faut tenir compte du nombre de chiens à accueillir. Si inférieur à 10, il faut faire une déclaration à la DDPP tout en respectant les règlements sanitaires. Au-delà de 10 chiens à 50, l’emplacement doit se faire 100 m à partir de la résidence. Si supérieur à 50 chiens, il faut obtenir une autorisation préfectorale. Il faut être inscrit au registre d’entrées et de sorties des animaux et avoir un carnet de suivi sanitaire. Les cages doivent être individuelles mesurant 5 m 2 au minimum à hauteur de 2 mètres. Elles doivent être nettoyées quotidiennement.

Il existe toutes sortes de spécimens

Alors, votre choix se portera probablement pour un betta splendens, communément appelé « combattant ». Il ne peut supporter la compagnie de ses pairs, alors évitez de lui donner des compagnons. Mais il saura vous charmer avec sa grâce naturelle et ses couleurs si gaies. Autre choix intéressant : le xipho ou le porte-épée (si c’est un mâle). De par sa grande taille, il est préférable que vous le preniez seul, de toutes manières, il est si facilement apprivoisable. C’est un spécimen pacifique mais qui a besoin d’un aquarium couvert, autrement, il risque de sauter par-dessus.

Quelques autres spécimens qui feront votre bonheur

Peut-être que vous aimez le danio rerio, plus simplement appelé poisson zèbre. Il vous amusera car il est en perpétuel mouvement. Donnez-lui 4 ou 5 compagnons et ne vous inquiétez pas pour la nourriture, il en consomme peu. Un bac assez grand et une température ambiante suffisent à sa vie pour votre plus grand plaisir. Il y a aussi le molly qui séduit par ses couleurs poussière d’or, dalmatien, noir. Très élégant, il est robuste et s’adapte facilement à tous les milieux. Un poisson peu connu mais si beau peut aussi trouver sa place dans votre aquarium, le killi cap Lopez.

Brosser régulièrement ses dents

Pour maintenir une bonne hygiène, votre chien doit brosser régulièrement les dents. Dans ce cas, il n’est pas question d’utiliser des dentifrices pour humains. Il existe des dentifrices spécifiquement réservés pour chien qui ont plusieurs goûts, à la viande, à la menthe ou au malt. Il vous suffit dans ce cas de bien choisir et de trouver le bon moment pour le brossage. Sachez également que les soins dentaires doivent commencer dès leur plus jeune âge, à partir de 4 ou de 6 mois. Si votre chien n’est pas encore habitué au brossage et refuse d’ouvrir la bouche, vous pouvez d’abord utiliser du gel dentaire, qui ne nécessite aucun brossage. Vous devez juste appliquer quelques gouttes du gel sur chaque côté de la bouche de votre animal. Ce type de gel a généralement la capacité d’éviter l’apparition des tartres, de ramollir les tartres déjà existants, et de bien rafraîchir l’haleine.

Miser sur les bons produits alimentaires

Certains aliments sont des précieux alliés pour favoriser la santé dentaire de son chien. Il ya principalement les croquettes qui permettent d’éviter les plaques et les tartres. Il en est de même pour les biscuits et le pain sec qui obligent l’animal à mâcher et à éliminer plus rapidement les tartres. D’autres produits naturels très riches en vitamines et en calcium sont aussi à considérer, comme les carottes, les pommes et le céleri. Bien qu’ils soient cependant efficaces, ils ne peuvent en aucun cas remplacer le brossage des dents.

Favoriser les soins chez le vétérinaire

La visite chez le vétérinaire doit être régulière si vous avez un animal de compagnie. Vaccins, contrôle dentaire ou autres examens, la consultation préventive ne doit en aucun être minimisée, notamment quand il s’agit de l’hygiène bucco-dentaire. Pour ce faire, divers établissements proposent leurs expertises, avec le bilan dentaire complet, détartrage professionnel ou traitement avancé des problèmes dentaires.

A chacun son animal de compagnie

Il y a des gens qui n’ont pas de temps à consacrer à un animal ou peu de moyens à mettre dans ses soins, alors qu’il existe des personnes prêtes à mettre le budget qu’il faut pour leur compagnon à quatre pattes. Donc, on ne peut pas dire qu’il y a un animal de compagnie meilleur qu’un autre. Le meilleur, c’est celui qui vous fera du bien et que vous saurez vous occuper sur le long terme. Mais en tout cas, si vous adoptez un animal de compagnie, quel qu’il soit, cela impactera positivement sur votre moral et fera du bien à votre santé.

Faites le bon choix !

Alors, quel animal allez-vous choisir pour accompagner vos journées, vos soirées, pour jouer avec vos enfants ou pour vous apaiser ? La présence d’un animal chez vous et le fait de vous en occuper peut grandement vous aider à lutter contre la dépression et stimule vos défenses immunitaires. Mais où en chercher ? La plupart des gens ont l’habitude de se rendre dans une animalerie ou chez un éleveur pour choisir leur animal de compagnie mais il y a aussi le choix de se rendre dans les refuges. Il s’y trouve de nombreux animaux abandonnés qui attendent que quelqu’un veuille bien les adopter. Vous aurez un large choix, ne vous inquiétez pas. Donnez une famille à un de ces animaux désespérés.

Les croquettes

Alimentation préférée des chiens, les croquettes représentent de sérieux avantages. D’abord, elles réduisent largement les dépenses effectuées, avec leur prix moins coûteuses. Selon leur marque, elles possèdent aussi toutes les propriétés nutritives nécessaires pour mieux répondre aux besoins des chiens. Parmi leurs contenants nutritifs, on peut trouver tous les principaux macronutriments, tel que les lipides et les protéines. C’est pourquoi, elles sont considérées comme des aliments complets. Par rapport aux pâtés, elles sont faciles à digérer et sont beaucoup moins grasses. D’ailleurs, elles sont plus favorables à la santé bucco-dentaire, évitant l’apparition des tartres et l’apparition de gingivite.

La pâtée

Les pâtées pour chien existent sous différentes formes et s’adaptent particulièrement à chaque âge. Très riche en viande, elles suscitent facilement l’appétit chez les chiens. A la différence des croquettes, elles coûtent généralement chères et c’est à la fois une denrée rare dans certaines régions reculées. Quant à leur contenant nutritif, elles sont très riches en glucides et en eau. Ce qui peut favoriser les problèmes de surpoids et l’apparition des tartres.
Contrairement aux croquettes, elles ne peuvent pas être conservées trop longtemps, une fois ouvertes. Avec leur lourdeur, elles sont aussi très difficiles à stocker, outre toutes les autres contraintes liées à leur conditionnement.

Miser sur le régime mixte : un autre choix

Pour que son chien mène une vie en pleine santé, le régime mixte doit être favorisé. Il ne faut donc pas cantonner son alimentation à un seul type de ration. L’idéal c’est de varier les rations industrielles avec les rations ménagères. On peut très bien lui donner des viandes crus, des os, des croquettes ou des pâtées. Il faut cependant oublier les déchets de table qui favorisent les risques d’obstruction, d’obésité et même de contamination.